Les traditionnelles épreuves du baccalauréat ont été maintenues pour les élèves en classe de terminale au Gabon. À quelques exceptions près, les apprenants sont tenus de composer dans l’ensemble des disciplines entrant dans la valorisation de ce diplôme aussi bien dans l’enseignement général que professionnel et technique.
Petit à petit, sciemment ou pas, la voie vers la sortie de crise sanitaire se dessine et s’impose d’elle – même. La résilience de la population s’exprime dans l’idée d’accepter de suivre les recommandations des autorités tout en acceptant de vivre avec le virus. La période est au retour des beaux jours qui s’approchent et apportent l’espoir d’une liberté retrouvée. Quoique le challenge à venir sera d’être vigilant face à ce virus qui n’a que trop fait parler de lui. Le quotidien sera désormais fait d’adaptation et d’appréciation en fonction des exigences du moment. Il faudra réagir en tenant compte des nouvelles perspectives.
C’est en Chine, dans la métropole de Wuhan que le virus Covid-19 a fait son apparition au quatrième trimestre de l’année 2019. Il a fallu moins de trois mois, grâce aux routes du ciel, pour qu’il soit catégorisé «pandémie» par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Six mois plus tard, notamment à partir du mois de mai 2020, le Gabon a procédé à la fermeture des écoles, des bars et des lieux de cultes. À la mi-avril avec une soixantaine de cas recensés, le Gouvernement, par l’entremise du Premier ministre, Julien Nkoghe Bekale, a décidé du confinement total du Grand Libreville (communes de Libreville, Owendo, Ntoum et Akanda) et de la Pointe-Denis, le 12 avril pour 15 jours. Depuis, c’est le retour au confinement partiel.
« La femme est la ceinture qui tient le pantalon de l’homme » dit le proverbe. Elles sont donc ajuste titre considérées en Afrique comme le socle de la société. Une assertion qui certainement a valeur dans toutes les communautés humaines. Inspiré par Confucius, le président Mao Zedong disait que: « les femmes portent la moitié du ciel.» C’est peut – être ce qui a fait dire aux ivoiriens du groupe Espoir 2000 que « ce que femme veut, Dieu veut.» Une chose est certaine, le lutte pour la promotion de la femme et l’égalité des sexes est plus que par le passé inscrit dans l’agenda de tous les pays du monde. Le 8 mars est désormais le rendez –vous à ne point rater pour les féministes et tous les militants des droits des femmes. Quoique qu’il soit possible d’observer une fracture entre l’avant – garde féministe et la nouvelle génération. Il est reproché aux pionnières de ne pas avoir oeuvré suffisamment pour l’émancipation et l’autonomisation de la femme mais de s’être cantonnée à combattre les idées machistes.
Il y a une année que votre mensuel paraissait pour la première fois, c’était en avril 2018. Dans le premier éditorial que nous vous avions soumis à votre lecture, nous affirmions que : « Nous avons tous un incroyable talent ». L’intention était de pouvoir convaincre chacun à résolument s’engager au travail pour faire face à la crise économique que notre pays traverse depuis quelques années.
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