L’évaluation des différents plans de développement économique mis en place dès 1960 à travers le dernier essai de Raymond NDONG SIMA, « L’économie gabonaise, un regard rétrospectif de 1960 à nos jours », permet de trouver des aspects responsables du déséquilibre de développement qui peut être constaté entre la capitale et l’hinterland.
Le Gabon a souffert des effets des restrictions liées à la lutte contre la pandémie de Covid-19. Le gouvernement n’avait pas une autre solution pour protéger la population que d’instaurer l’État d’urgence sanitaire. Au-delà des critiques qui peuvent être formulées quant à la gestion de la crise, cet évènement hors du commun a été une occasion de mesurer le niveau de résilience du pays.
En entrant en 2022, l’espoir d’une reprise se lit dans l’ensemble des discours aussi bien des politiques que des populations. Le vœu pieux de chacun est de retrouver une vie normale après deux ans de privation et d’enfermement. La communication par le gouvernement des nouvelles mesures, au-delà de la contestation des arrêtés n°0559 et n°0685 ainsi que le décret n°002/PR/MS du 7 janvier 2022 par le COPIL Citoyen, l’ambition reste d’offrir un assouplissement pour permettre la relance des activités économiques.
Au début de ce mois de décembre, le monde a célébré la Journée mondiale de lutte contre le VIH/SIDA. Une célébration une fois de plus particulière parce que la pandémie du coronavirus a une nouvelle fois laissé transparaître les manquements des Etats à travailler efficacement contre la pandémie du VIH / SIDA.
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