
Depuis l’adoption, en 1992, au sommet de la Terre de Rio de Janeiro (Brésil) d’une convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, on le sait : il faut limiter la hausse de la température climatique. Depuis, les COP se succèdent, et la stratégie, elle aussi bien connue de tous, reste la même : parvenir à une baisse des émissions humaines des gaz à effet de serre. 31 ans après, les pays industrialisés, particulièrement pointés du doigt pour leurs activités destructrices de la couche d’ozone, continuent de faire la sourde oreille, à défaut de renouveler chaque année des promesses jusque-là non tenues.