Magazine N°045 : PLUS D’INVESTISSEMENTS ET D’EMPLOIS À L’HORIZON
Dans notre éditorial du mois dernier, je parlais des « perspectives encourageantes » quant aux prévisions de la croissance du PIB de notre pays cette année. Cet optimisme peut également se lire pour ce mois de février, avec les dernières annonces en matière d’investissements étrangers au Gabon. À l’heure où le pays est sur un engagement tous azimuts pour trouver les ressorts capables de soutenir la croissance économique et surtout appuyer le développement des secteurs prioritaires du Plan d’accélération de la transformation (PAT), quelques activités permettent de croire à la relance. C’est le cas des secteurs extractif, agricole et industriel.
Si la Zone industrielle spéciale (ZIS) de Nkok (anciennement ZES de Nkok) est un des bons élèves en matière de captation d’investissements étrangers (2 milliards de FCFA à ce jour) et de création d’emplois (7000), de belles promesses sont à venir dans le secteur agricole.
En effet, dans sa stratégie d’atteinte de l’autosuffisance alimentaire, le gouvernement s’emploie depuis 2020 à la création des Zones agricoles à forte productivité (ZAP), dont celle d’Andem à 60 km de Libreville. Cette ZAP vient d’enregistrer la signature d’un mémorandum d’entente entre l’État gabonais et le Centre international d’innovation et de transfert de technologies agricoles, élevage et environnemental (CIITTA), un consortium britannique, qui souhaite produire du poulet de chair. La ZAP d’Andem, c’est surtout une promesse de 1 000 emplois lors de la phase de la construction et 2 500 lors de la phase de développement agricole, si l’on en croit le contrat d’aménagement signé par l’État avec l’indien AOM Global SA. Au Gabon, le secteur de l’industrie extractive devrait, selon toute vraisemblance, constituer une niche d’emplois sans égal dès cette année.
La signature, ce mois, de la convention d’exploitation entre l’État gabonais et l’australien Fortescue Metal Group via sa filiale Ivindo Iron, va générer 20 000 emplois directs et indirects pour un investissement de l’ordre de 11 milliards de dollars soit 6 725 milliards de francs CFA. À court terme, d’ici au second semestre 2023, il va générer 800 emplois directs. Le gisement de fer de Baniaka près de Bakoumba promet également la création de près de 700 emplois dès le lancement de la phase d’exploitation d’ici à la moitié de l’année 2024.
La rubrique Investissement de ce mois traite de « l’annonce faite par l’entreprise pétrolière et gazière franco-britannique par le biais d’un communiqué le 17 février 2023 […] de transformer le terminal du Cap Lopez à Port-Gentil en un terminal pétrolier et gazier». Cette opération vise à produire du Gaz naturel liquéfié (GNL) pour un coût de réalisation de 617 milliards de francs CFA. « Cette infrastructure vient relancer les activités dans une ville sinistrée par plusieurs années de crise économique et sanitaire ».
Au final, l’année 2023 va favoriser la création de plusieurs centaines d’emplois grâce à la mise en œuvre du PAT, qui favorise la valorisation par le Gabon de toutes ses matières premières.
En effet, dans sa stratégie d’atteinte de l’autosuffisance alimentaire, le gouvernement s’emploie depuis 2020 à la création des Zones agricoles à forte productivité (ZAP), dont celle d’Andem à 60 km de Libreville. Cette ZAP vient d’enregistrer la signature d’un mémorandum d’entente entre l’État gabonais et le Centre international d’innovation et de transfert de technologies agricoles, élevage et environnemental (CIITTA), un consortium britannique, qui souhaite produire du poulet de chair. La ZAP d’Andem, c’est surtout une promesse de 1 000 emplois lors de la phase de la construction et 2 500 lors de la phase de développement agricole, si l’on en croit le contrat d’aménagement signé par l’État avec l’indien AOM Global SA. Au Gabon, le secteur de l’industrie extractive devrait, selon toute vraisemblance, constituer une niche d’emplois sans égal dès cette année.
La signature, ce mois, de la convention d’exploitation entre l’État gabonais et l’australien Fortescue Metal Group via sa filiale Ivindo Iron, va générer 20 000 emplois directs et indirects pour un investissement de l’ordre de 11 milliards de dollars soit 6 725 milliards de francs CFA. À court terme, d’ici au second semestre 2023, il va générer 800 emplois directs. Le gisement de fer de Baniaka près de Bakoumba promet également la création de près de 700 emplois dès le lancement de la phase d’exploitation d’ici à la moitié de l’année 2024.
La rubrique Investissement de ce mois traite de « l’annonce faite par l’entreprise pétrolière et gazière franco-britannique par le biais d’un communiqué le 17 février 2023 […] de transformer le terminal du Cap Lopez à Port-Gentil en un terminal pétrolier et gazier». Cette opération vise à produire du Gaz naturel liquéfié (GNL) pour un coût de réalisation de 617 milliards de francs CFA. « Cette infrastructure vient relancer les activités dans une ville sinistrée par plusieurs années de crise économique et sanitaire ».
Au final, l’année 2023 va favoriser la création de plusieurs centaines d’emplois grâce à la mise en œuvre du PAT, qui favorise la valorisation par le Gabon de toutes ses matières premières.
