Dans le cérémoniel du mariage coutumier la dot est l’élément principal, une forme de compensation matrimoniale dont bénéficient les parents pour le départ de leur fille au profit du groupe familial de l’homme. Le vide ainsi causé devant être comblé, les parents de ce dernier offrent alors à ceux de la fille les moyens qui leur permettraient de prendre une épouse pour un membre de la famille.
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Je lisais, il y a quelque temps, « Comment développer son leadership », un livre coécrit par les Américains Ken BLANCHARD et Mark MILLER. De cette lecture, particulièrement la préface signée de John MAXWELL, j’ai tiré la phrase qui me sert de titre pour cette tribune. Poursuivant ma lecture, cette phrase s’est littéralement imposée à moi comme une hantise. Je la trouvais complexe. Je me suis mis à réfléchir sur ce que je devais y comprendre. « Tout, bien ou mal, dépend du leadership ! » Pourquoi l’auteur a-t-il fait le choix de cette formulation au lieu d’écrire : « tout en bien ou en mal dépend du leadership » ? Ce qui aurait eu pour effet de rendre sa compréhension plus simple.
Gabon, à l’instar de nombreuses nations à travers le monde, fait face à des difficultés sociales. Bien que félicité par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour sa gestion de la pandémie et grâce à une politique vaccinale dont on commence à voir les effets positifs, les problèmes sociaux demeurent nombreux. En effet, l’inflation et surtout la chute des revenus des gabonais les plus précaires ont considérablement affaiblis l’efficacité des filets de protection sociale. Parmi ces outils durablement touchés figurent nos régimes de protection sociale et particulièrement la branche de retraite du régime de sécurité sociale.
La question de la révision de la loi 3/94 du 21 novembre 1994 portant Code du Travail de la République Gabonaise a toujours suscité des débats houleux de la part du Gouvernement et des partenaires sociaux (Patronat et syndicats des travailleurs), en ce sens que cette loi impacte simultanément la situation de l’économie nationale, chère au Gouvernement, celle des entreprises, ainsi que le niveau de vie des travailleurs.
L’environnement économique mondial devient de plus en plus complexe au regard des fortes évolutions technologique, sociale, environnementale et politique. Ainsi, la recherche de la performance occupe une place centrale dans le contexte économique actuel. Cependant, la notion de « coût performance caché » devient un enjeu pour la prise de décision au sein des organisations. La gestion optimale de l’ensemble des coûts permet aux décideurs d’affiner les stratégies à développer en matière de performance de leurs organisations
Quid des partenariats public-privé dans le financement du Plan d’accélération de la transformation ?
Le consensus est largement obtenu sur l’opportunité des Partenariats Public-Privé (PPP) pour le financement des politiques publiques, les acteurs du monde de la finance les conçoivent d’ailleurs aussi comme tel, c’est-à-dire, un instrument de financement de projets. Le Gabon quant à lui a compris la nécessité de les encadrer en leur consacrant un cadre juridique et institutionnel, par le truchement de l’ordonnance de 2016 sur les PPP, et avec elle, ses différents textes d’application. Résolument engagé dans un long processus de réformes structurelles et institutionnelles, et par la même occasion, devant relever les défis de la transformation économique à travers le document de politique adopté à cet effet, à savoir, le Plan d’Accélération de la Transformation (PAT), le Gabon devrait assoir une stratégie de financement de ce programme qui le tiendrait éloigné à la fois des Fonds Vautours, de l’assistance, des aides et des crédits. Toutefois, le PAT a retenu comme principales sources de financement, les FINEX, l’État et les PPP, qui représentent entre 1700-1800 milliards de FCFA dont 35 à 40 % de ce montant est déjà sécurisé.
Avoir les projecteurs sur nous, prendre la parole, expliquer à l’opinion publique comment et combien de fois la Culture gabonaise et le Ministère qui en assure la tutelle sont négligés dans notre pays ; relever le fait que depuis l’accession du Gabon à l’indépendance, à aucun moment la culture et les arts n’ont représenté une priorité ni eu d’importance aux yeux de nos dirigeants. Ce sont là des faits qui donnent l’impression qu’être artiste est une tare, et qu’être nommé Ministre de la Culture est une voie de Garage, une sanction.
Notre pays comme d’autres, traverse la crise sanitaire avec courage et dignité. Il s’agit pour un pays qui n’a jamais connu de rupture de paix proprement dite de livrer sa première guerre. Comme toute bataille, les dégâts sont énormes et à mon sens, il est impératif que l’Administration publique en charge puisse évaluer secteur par secteur, le bilan détaillé de cette crise sanitaire
L’entreprenariat s’est significativement développé au Gabon depuis une dizaine d’années. Des infrastructures sont là. Une culture plus favorable à la prise de risque a émergé. Un fonds d’investissement richement doté et dédié aux PME a été lancé. Pourtant les entrepreneurs se plaignent toujours de leur difficulté à accéder aux financements. Une solution reste largement inexplorée; il s’agit du business angel ou angel investor, le chaînon manquant de l’entrepreneuriat au Gabon.
Le Gabon, notre pays, vient de terminer la commémoration des festivités marquant les 60 ans de son accession à l’indépendance. Dans la vie d’un homme, 60 ans, en général, c’est le temps de la retraite.
La retraite, c’est le temps des interrogations, le temps des évaluations, le temps du bilan, le temps des leçons. En somme c’est le temps des regrets pour les uns et, pour les autres, c’est le temps de la contemplation et de la jouissance. En clair, c’est le temps de la Vérité pour tout le monde !
Dans la vie d’une Nation, pour certains, 60 ans peut paraître jeune, le plus souvent pour justifier échecs ou ratés, mais pour les autres, 60 ans, c’est le temps qu’il faut !
Notre pays comme d’autres, traverse la crise sanitaire avec courage et dignité. Il s’agit pour un pays qui n’a jamais connu de rupture de paix proprement dite de livrer sa première guerre. Comme toute bataille, les dégâts sont énormes et à mon sens, il est impératif que l’Administration publique en charge puisse évaluer secteur par secteur, le bilan détaillé de cette crise sanitaire
Pour un pacte républicain et patriotique autour du Plan d’accélération de la transformation du Gabon
La vie d’une nation est parfois rythmée par des évènements largement imprévisibles comme les pandémies, les catastrophes naturelles, les crises économiques ou financières. Le Gabon, notre pays n’y échappe pas.
Actuellement, nous connaissons une crise sanitaire particulièrement préoccupante. La situation sanitaire s’est brusquement dégradée ces derniers mois. La deuxième vague que nous redoutions tous est là.
Le 17 août 2020, le Gabon célèbre la soixantième année de son accession à la souveraineté internationale, obtenue de la France en 1960. Cette célébration se fait dans un contexte particulier marqué par la crise sanitaire liée à la Covid-19. Une situation qui impose des ajustements dans la traditionnelle cérémonie de commémoration de cette date. Cependant, de ces soixante ans, chaque Gabonais est en droit de mesurer la courbe de l’évolution sociale et économique du pays. Un exercice certes fastidieux, mais combien important pour les quarante années qui nous séparent du siècle de vie de la République gabonaise.
Après les déboires des U16 féminin et masculin à l’Afrobasket au Caire et face aux multiples railleries de la part du public, doublé de la disqualification de l’équipe nationale de basketball féminine de l’Afrobasket prévu à Yaoundé au mois de septembre 2021, Marius ASSOUMOU NDONG dit Kemp, ancienne gloire de la balle orange sort du bois. Pour cet ancien international, c’est le moment pour une prise de conscience réelle pour sauver le basketball gabonais.
Le New York Forum for Africa aurait été une grande première au Gabon dans le domaine de la promotion de l’initiative privée. Mais cette grande messe a certainement marqué les prémisses d’une vision nouvelle dans l’inconscient de citoyens noyés dans la pensée unique de la rente depuis plus d’un demi-siècle. L’esprit entrepreneurial qui jusque-là apparaissait comme une idée lointaine dans l’esprit des jeunes gabonais habitués à l’État-providence certaine, commençait son bonhomme de chemin.
On a beau être convaincus qu’on fait partie du même monde, que la fluidité des communications est si étendue aujourd’hui que la planète entière est devenue un vaste village (selon la formule consacrée), il reste quand même que l’expansion mondiale, depuis le début de l’année, de la covid19 devrait nous porter à nous interroger.
Quand même, ce coronavirus n’a-t-il d’abord frappé l’humanité qu’aux entrailles de ses nations les plus riches, orgueilleuses, surpuissantes, maillots jaunes de la prospérité, de la finance et de la technologie? Car les ratios que la pandémie nous présente sont quand même étonnants, quand bien même les médias occidentaux nous certifient encore qu’elle entend mettre toute l’humanité devant le même risque de fragilité.
L’histoire économique du Gabon ne déroge pas de celle des autres pays africains présentant un profil de revenus publics assis sur la rente découlant de l’exploitation des matières premières.
La situation sanitaire mondiale commande de changer les différents modèles de notre vie de peur de voir certains secteurs plombés. C’est particulièrement le cas du milieu éducatif où le e-learning est désormais incontournable. À ce titre, le Gabon ne devrait pas déroger à la règle.
Il y a un an, à la suite de l’annonce du gel des embauches dans la fonction publique, j’avais versé à la réflexion collective un certain nombre d’observations sur l’évolution de la masse salariale de la fonction publique au Gabon.