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CORAILKING, Engagé pour l’embellissement de Libreville

Apporter une touche de gaité dans la ville, c’est la dernière idée inspirante de l’artiste graphiste et designer, CorailKing. Il a choisi de couvrir les façades de certains bâtiments et infrastructures publiques de fresques mêlant animaux et masques culturels du Gabon. L’ambition de l’artiste et de son équipe baptisée «Les Futuristes» est de trouver l’adhésion du plus grand nombre, y compris celle des autorités municipales de la commune de Libreville.
Une image peut-elle impacter positivement la suite d’une journée ? Une question à laquelle la réponse pourrait paraître relative en fonction de la sensibilité des uns et des autres. Néanmoins, il y a une chose qui est commune à tous les regards en traversant les artères de Libreville, le paysage est triste et fait de la place à un tableau sombre. Partant de ce constat, « On fait ça pour l’Histoire », projet lancé il y a quelques semaines par CorailKing, envisage de donner un nouvel éclat aux rues de la capitale gabonaise. Objectif : émerveiller aussi bien les citadins que les visiteurs. En somme, redonner à Libreville son lustre d’antan, voire un peu plus.
Ville cosmopolite, Libreville à l’image du Gabon est fait d’un melting-pot culturel dense. D’où le savant mélange que fait le collectif d’artistes multidisciplinaires, «Les Futuristes», alliant nature et tradition à travers la réalisation de ces fresques murales qui « célèbrent, chacune avec sa forme et sa manière, notre Faune, nos Flores, nos Rites, et nos Traditions ».
« On fait ça pour l’Histoire » est également un projet social. En effet, selon ses instigateurs, il s’agit aussi d’un moyen de « s’impliquer positivement dans le quotidien de la cité. Une [façon] d’affirmer, de manière créative, l’identité gabonaise à travers cette série d’œuvres d’art publiques dans la ville ». Indubitablement, CorailKing et Les Futuristes entendent, pour le coup, « placer l’Art à la portée directe des citadins de Libreville ».
Pour atteindre leur objectif qui est de « faire de Libreville une galerie à ciel ouvert » et d’« interpeller les citoyens autour des questions de protection de l’environnement, de nos rites, et de nos traditions », CorailKing et ses partenaires espèrent bénéficier de l’adhésion des autorités municipales qu’ils ont officiellement sollicitée. Le collectif d’artistes espère en effet obtenir des autorisations pour repeindre à leur guise les murs appartenant au domaine municipal.
Le projet tel que lancé ne compte pas en effet s’arrêter en si bon chemin. Son action devrait s’étendre sur les trois principaux échangeurs de Libreville (Nzeng-Ayong, Charbonnages et IAI) ainsi que sur les façades des édifices publics à l’abandon.
Ville cosmopolite, Libreville à l’image du Gabon est fait d’un melting-pot culturel dense. D’où le savant mélange que fait le collectif d’artistes multidisciplinaires, «Les Futuristes», alliant nature et tradition à travers la réalisation de ces fresques murales qui « célèbrent, chacune avec sa forme et sa manière, notre Faune, nos Flores, nos Rites, et nos Traditions ».
« On fait ça pour l’Histoire » est également un projet social. En effet, selon ses instigateurs, il s’agit aussi d’un moyen de « s’impliquer positivement dans le quotidien de la cité. Une [façon] d’affirmer, de manière créative, l’identité gabonaise à travers cette série d’œuvres d’art publiques dans la ville ». Indubitablement, CorailKing et Les Futuristes entendent, pour le coup, « placer l’Art à la portée directe des citadins de Libreville ».
Pour atteindre leur objectif qui est de « faire de Libreville une galerie à ciel ouvert » et d’« interpeller les citoyens autour des questions de protection de l’environnement, de nos rites, et de nos traditions », CorailKing et ses partenaires espèrent bénéficier de l’adhésion des autorités municipales qu’ils ont officiellement sollicitée. Le collectif d’artistes espère en effet obtenir des autorisations pour repeindre à leur guise les murs appartenant au domaine municipal.
Le projet tel que lancé ne compte pas en effet s’arrêter en si bon chemin. Son action devrait s’étendre sur les trois principaux échangeurs de Libreville (Nzeng-Ayong, Charbonnages et IAI) ainsi que sur les façades des édifices publics à l’abandon.
Haïlée M.D.