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Viafé& Mitzic, L’Okano redécouvert sous l’angle culturel.

Comme rarement auparavant, le département de l’Okano a été sous les feux des projecteurs ce mois de décembre 2021, notamment grâce à l’organisation de deux principales activités culturelles initiées par l’association Gabon 2025 (G25), l’une relative à la remise officielle à l’État du Complexe culturel Odzambogha de Zok et l’autre à la mise à disposition de plusieurs sculptures artistiques du musée à ciel ouvert de la cité écologique rurale Edock City au ministère de la Culture, respectivement à Mitzic te à Viafé. Récit des évènements.
Cinq mois après la signature de l’acte de cession à l’État gabonais du Complexe culturel « Odzambogha » de Zok et des sculptures artistiques du musée à ciel ouvert de la cité écologique rurale Edock City par l’association G25, le promoteur de ces œuvres artistique, Andrew GWODOG, fidèle à son engagement pris le 28 septembre 2015, au nom du président de la République Ali BONGO ONDIMBA, a procédé les 11 et 12 décembre 2021, dans le département de l’Okano a la remise officielle de ce patrimoine culturel à l’État gabonais via le ministère de la Culture.
« Ce week-end est un grand moment pour chacun d’entre nous, pour le département de l’Okano, la commune de Mitzic. Je voudrais rendre un grand hommage au président de la République Ali Bongo Ondimba et au Premier ministre Rose CHRISTIANE OSSOUKA pour l’intermédiation, grâce auquel nous sommes enfin arrivés, quatre ans plus tard, au dénouement heureux de l’affaire dite COZ », a déclaré Andrew GWODOG.
Organisé en deux phases, ces activités ont consisté dans un premier temps à ériger en mini-musée à ciel ouvert la première cité rurale écologique entièrement bâtie avec du bois gabonais, « Edock City », située dans la localité de Viafé, à 5 km de Lalara, à 55 kilomètres de Mitzic et à 130 kilomètres de Ndjolé avec l’exposition de six fresques participant à la promotion touristique de ce département.
Ces fresques d’Edock City sont des œuvres originales de tradition Fang, Kota, Punu, Nzebi, Tsogo, réalisées à base de l’essence tali, réputée pour sa résistance à l’usure. Œuvres du sculpteur et promoteur de l’atelier Djil’Arts, Joseph Landry Mouele Bingoulou, ces sculptures sont entre autres : reliquaires fang (le Bieri) et Kota ; le masque fang N’gil et le masque Punu Mukudji, tous sculptés sur une hauteur de 2 mètres. Mais également deux autres œuvres contemporaines issues de la création de l’artiste. La première baptisée éveil et la seconde signifiant en langue Punu: « Ce qui est à moi ».
Le deuxième temps fort de ces activités culturelles dans l’Okano a été l’ouverture officielle de la saison culturelle du Complexe culturel Odzambogha de Zok (Coz) avec sa remise officielle à l’État gabonais, l’organisation des danses traditionnelles tournoi de Songo et conférence sur la culture : Le Département de l’Okano : « Entre histoire culturelle et contribution à la promotion de l’éducation au Gabon », un menu bien concocté pour satisfaire l’appétit culturel et scientifique des Mitzicois.
« Ce week-end est un grand moment pour chacun d’entre nous, pour le département de l’Okano, la commune de Mitzic. Je voudrais rendre un grand hommage au président de la République Ali Bongo Ondimba et au Premier ministre Rose CHRISTIANE OSSOUKA pour l’intermédiation, grâce auquel nous sommes enfin arrivés, quatre ans plus tard, au dénouement heureux de l’affaire dite COZ », a déclaré Andrew GWODOG.
Organisé en deux phases, ces activités ont consisté dans un premier temps à ériger en mini-musée à ciel ouvert la première cité rurale écologique entièrement bâtie avec du bois gabonais, « Edock City », située dans la localité de Viafé, à 5 km de Lalara, à 55 kilomètres de Mitzic et à 130 kilomètres de Ndjolé avec l’exposition de six fresques participant à la promotion touristique de ce département.
Ces fresques d’Edock City sont des œuvres originales de tradition Fang, Kota, Punu, Nzebi, Tsogo, réalisées à base de l’essence tali, réputée pour sa résistance à l’usure. Œuvres du sculpteur et promoteur de l’atelier Djil’Arts, Joseph Landry Mouele Bingoulou, ces sculptures sont entre autres : reliquaires fang (le Bieri) et Kota ; le masque fang N’gil et le masque Punu Mukudji, tous sculptés sur une hauteur de 2 mètres. Mais également deux autres œuvres contemporaines issues de la création de l’artiste. La première baptisée éveil et la seconde signifiant en langue Punu: « Ce qui est à moi ».
Le deuxième temps fort de ces activités culturelles dans l’Okano a été l’ouverture officielle de la saison culturelle du Complexe culturel Odzambogha de Zok (Coz) avec sa remise officielle à l’État gabonais, l’organisation des danses traditionnelles tournoi de Songo et conférence sur la culture : Le Département de l’Okano : « Entre histoire culturelle et contribution à la promotion de l’éducation au Gabon », un menu bien concocté pour satisfaire l’appétit culturel et scientifique des Mitzicois.
Plus de 400 millions de FCFA investis
D’un coût total de 417.000.000 FCFA, et construit entre 2015 et 2019 sur une superficie de 2000m², le Coz comprend un ensemble d’infrastructures modernes qui se présentent ainsi qu’il suit : au rez-de-chaussée : une salle de fête avec une capacité d’accueil de 250 places. À l’étage : deux bureaux, une salle de réunion, une bibliothèque dotée de 10 000 ouvrages, un salon VIP et une cabine technique. Et à l’extérieur, une tribune principale de 200 places et deux tribunes annexes de 100 places chacune, trois boxes à usage commercial, une salle multimédia, un parc à jeux dédiés aux enfants et un corps de garde traditionnel.
« Je souhaite longue vie à notre Complexe culturel. Que les Okanois et toute autre personne qui l’utiliseront puissent s’épanouir, se divertir, se cultiver, se faire plaisir avec les différentes possibilités qu’il offre », conclut le Dr Andrew Gwodog.
Les passionnés de sculpture et les néophytes des arts sculpturaux, chacun a pu tirer satisfaction le temps d’un week-end, à travers une organisation collée aux exigences du moment… Car la culture, c’est aussi vivre avec son temps.
« Je souhaite longue vie à notre Complexe culturel. Que les Okanois et toute autre personne qui l’utiliseront puissent s’épanouir, se divertir, se cultiver, se faire plaisir avec les différentes possibilités qu’il offre », conclut le Dr Andrew Gwodog.
Les passionnés de sculpture et les néophytes des arts sculpturaux, chacun a pu tirer satisfaction le temps d’un week-end, à travers une organisation collée aux exigences du moment… Car la culture, c’est aussi vivre avec son temps.
CLNO