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Contrairement à l’annonce faite il y a plus d’un mois par l’agence de presse Reuters, la compagnie pétrolière Assala Gabon n’est pas à ventre. Selon son directeur général, Daniel MARINI, il ne s’agit que d’une rumeur. Ce dernier a apporté des explications sur ce qui a failli conduire à un mouvement d’humeur initié par les agents de la société pétrolière qui en revendique près de 500.
La compagnie pétrolière Assala Gabon n’est pas mise en vente comme annoncée en octobre dernier par l’agence de presse Reuters et relayée par plusieurs médias locaux et internationaux. Selon le directeur général d’Assala Gabon, Daniel MARINI, dans un entretien accordé au quotidien l’Union, il ne s’agit que d’une rumeur et rien d’autre.
« Il y a eu en effet récemment plusieurs articles qui ont circulé dans la presse au sujet d’Assala, notamment sur les rumeurs d’une vente des actions de la société par ses actionnaires (…). Nous avons eu l’expérience dans le passé de trouver fréquemment des articles de presse copiés plusieurs fois, écrits par ceux qui ne vérifient pas forcément les sources et les faits et qui ne nous contactent pas pour avoir des informations fiables ; il est vrai que rumeurs et scandales sont souvent plus vendeurs », a indiqué Daniel MARINI.
Carlyle International Energy Partners, branche du fonds d’investissement privé Carlyle Group, prévoyait la liquidation de sa filiale gabonaise pour un peu plus de 1 milliard de dollars (675 milliards de francs). Et que plusieurs noms de potentiels repreneurs ont même été cités. C’est le cas de Pérenco, Tullow Oil, Maurel & Prom, Panoro Energy, Vaalco Energy ou encore BW Energy. « Il y a parmi les sociétés citées, des sociétés cotées en bourse à Paris, New York où ailleurs, et qui ont de ce fait l’obligation légale d’annoncer toute discussion de fusion-acquisition qu’elles auraient. Je ne pense pas avoir vu quoi que ce soit de la sorte », a-t-il ajouté.
Mais d’après le directeur général d’Assala Gabon, on oublie que ces informations, déformées, amplifiées, peuvent causer des dommages. « Nos salariés, par exemple, sont affectés par ces rumeurs. Nous devons donc veiller à ne pas les colporter ou les entretenir », a martelé Daniel MARINI.
C’est en 2019 qu’Assala Energy a acquis des blocs pétroliers d’exploitation onshore et a augmenté ses réserves. Sa capacité de production est estimée aujourd’hui à 50 000 barils par jour. Ce qui fait de lui le 2e producteur de pétrole au Gabon. La société est propriétaire de cinq permis d’exploitation au Gabon : Koula/Damier ; Rabi Kounga II ; Bende Mbassou Totou II ; Toucan II et Gamba/Ivinga. Elle emploie plus de 470 Gabonais et travaille pour une performance robuste permettant de participer aux économies locales et nationales, conformément à ses engagements en matière d’Environnement, social et gouvernance (ESG).
« Il y a eu en effet récemment plusieurs articles qui ont circulé dans la presse au sujet d’Assala, notamment sur les rumeurs d’une vente des actions de la société par ses actionnaires (…). Nous avons eu l’expérience dans le passé de trouver fréquemment des articles de presse copiés plusieurs fois, écrits par ceux qui ne vérifient pas forcément les sources et les faits et qui ne nous contactent pas pour avoir des informations fiables ; il est vrai que rumeurs et scandales sont souvent plus vendeurs », a indiqué Daniel MARINI.
Carlyle International Energy Partners, branche du fonds d’investissement privé Carlyle Group, prévoyait la liquidation de sa filiale gabonaise pour un peu plus de 1 milliard de dollars (675 milliards de francs). Et que plusieurs noms de potentiels repreneurs ont même été cités. C’est le cas de Pérenco, Tullow Oil, Maurel & Prom, Panoro Energy, Vaalco Energy ou encore BW Energy. « Il y a parmi les sociétés citées, des sociétés cotées en bourse à Paris, New York où ailleurs, et qui ont de ce fait l’obligation légale d’annoncer toute discussion de fusion-acquisition qu’elles auraient. Je ne pense pas avoir vu quoi que ce soit de la sorte », a-t-il ajouté.
Mais d’après le directeur général d’Assala Gabon, on oublie que ces informations, déformées, amplifiées, peuvent causer des dommages. « Nos salariés, par exemple, sont affectés par ces rumeurs. Nous devons donc veiller à ne pas les colporter ou les entretenir », a martelé Daniel MARINI.
C’est en 2019 qu’Assala Energy a acquis des blocs pétroliers d’exploitation onshore et a augmenté ses réserves. Sa capacité de production est estimée aujourd’hui à 50 000 barils par jour. Ce qui fait de lui le 2e producteur de pétrole au Gabon. La société est propriétaire de cinq permis d’exploitation au Gabon : Koula/Damier ; Rabi Kounga II ; Bende Mbassou Totou II ; Toucan II et Gamba/Ivinga. Elle emploie plus de 470 Gabonais et travaille pour une performance robuste permettant de participer aux économies locales et nationales, conformément à ses engagements en matière d’Environnement, social et gouvernance (ESG).
Près de 700 milliards de FCFA d’investissements en 5 ans
Après 5 ans d’activités au Gabon, la compagnie pétrolière Assala Gabon est sur le point de dépasser le milliard de dollars (près de 700 milliards de FCFA) d’investissement dans le pays, apprend-on. « En cinq ans, Assala s’est attachée à redynamiser ses actifs dits matures, en investissant massivement dans la fiabilité et la pérennisation de ses installations et dans le re-développement de ses champs», a affirmé Daniel MARINI.
Ce niveau sans précédent d’investissement a eu pour conséquence un taux de remplacement des réserves dans le sous-sol gabonais sur les permis opérés par Assala de 180 %. « Cela signifie que, pour chaque baril produit par Assala au cours des cinq dernières années, 1,8 nouveau baril a été identifié dans le sous-sol, c’est-à-dire pas loin du double de ce qui a été produit », explique le directeur général d’Assala. Selon lui, pour une ressource naturelle qui n’est pas renouvelable, Assala contribue cependant à la découverte de nouvelles réserves dans le sous-sol pour le futur du pays.
Assala Energy Gabon a entériné un budget d’investissements pour l’année 2023 de plus de 370 millions de dollars, soit près de 250 milliards de FCFA. Grâce aux activités qui ont été menées ces dernières années, un bel avenir a été préparé pour la société. Les responsables de la société pétrolière continuent leur mission, celle de prolonger le cycle de vie des actifs qui leur ont été confiés.
Ce niveau sans précédent d’investissement a eu pour conséquence un taux de remplacement des réserves dans le sous-sol gabonais sur les permis opérés par Assala de 180 %. « Cela signifie que, pour chaque baril produit par Assala au cours des cinq dernières années, 1,8 nouveau baril a été identifié dans le sous-sol, c’est-à-dire pas loin du double de ce qui a été produit », explique le directeur général d’Assala. Selon lui, pour une ressource naturelle qui n’est pas renouvelable, Assala contribue cependant à la découverte de nouvelles réserves dans le sous-sol pour le futur du pays.
Assala Energy Gabon a entériné un budget d’investissements pour l’année 2023 de plus de 370 millions de dollars, soit près de 250 milliards de FCFA. Grâce aux activités qui ont été menées ces dernières années, un bel avenir a été préparé pour la société. Les responsables de la société pétrolière continuent leur mission, celle de prolonger le cycle de vie des actifs qui leur ont été confiés.
Le FGIS, membre Net Zero Asset Owner Alliance
Le Fonds gabonais d’investissements stratégiques a rejoint la Net-Zero Asset Owner Alliance, un groupe international d’investisseurs ayant pris l’engagement d’assurer la transition de leur portefeuille d’investissements vers une neutralité carbone d’ici 2050. Le FGIS devient ainsi le premier fonds d’investissement africain à intégrer ce groupe. Ce, grâce à son engagement en faveur de la lutte contre les changements climatiques.
Selon l’administrateur directeur général du fonds gabonais, Akim Mohamed DAOUDA, la réduction des émissions dans la poursuite d’un objectif zéro carbone est une ligne directrice des activités de FGIS. Avec près de 2 milliards de dollars d’actifs sous gestion, le FGIS a pour ambition d’atteindre des émissions nettes de gaz à effet de serre nulles sur son portefeuille d’ici à 2050. Il doit pour cela fixer des objectifs intermédiaires tous les cinq ans et présenter un rapport de suivi annuel, apprend-on. « Notre adhésion à la Net-Zero Asset Owner Alliance s’inscrit dans cet engagement, ainsi que dans notre volonté de promouvoir davantage les investissements verts au Gabon », a indiqué Akim Mohamed DAOUDA.
Cette nouvelle collaboration engage ainsi le FGIS à renforcer son engagement pour la décarbonisation. Cette démarche est en droite ligne des objectifs du gouvernement gabonais qui s’est engagé depuis plusieurs années dans la lutte contre les changements climatiques avec des stratégies visant à protéger l’environnement et ses forêts.
Selon l’administrateur directeur général du fonds gabonais, Akim Mohamed DAOUDA, la réduction des émissions dans la poursuite d’un objectif zéro carbone est une ligne directrice des activités de FGIS. Avec près de 2 milliards de dollars d’actifs sous gestion, le FGIS a pour ambition d’atteindre des émissions nettes de gaz à effet de serre nulles sur son portefeuille d’ici à 2050. Il doit pour cela fixer des objectifs intermédiaires tous les cinq ans et présenter un rapport de suivi annuel, apprend-on. « Notre adhésion à la Net-Zero Asset Owner Alliance s’inscrit dans cet engagement, ainsi que dans notre volonté de promouvoir davantage les investissements verts au Gabon », a indiqué Akim Mohamed DAOUDA.
Cette nouvelle collaboration engage ainsi le FGIS à renforcer son engagement pour la décarbonisation. Cette démarche est en droite ligne des objectifs du gouvernement gabonais qui s’est engagé depuis plusieurs années dans la lutte contre les changements climatiques avec des stratégies visant à protéger l’environnement et ses forêts.
Brice GOTOA