L’évaluation des différents plans de développement économique mis en place dès 1960 à travers le dernier essai de Raymond NDONG SIMA, « L’économie gabonaise, un regard rétrospectif de 1960 à nos jours », permet de trouver des aspects responsables du déséquilibre de développement qui peut être constaté entre la capitale et l’hinterland.
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Le Gabon a souffert des effets des restrictions liées à la lutte contre la pandémie de Covid-19. Le gouvernement n’avait pas une autre solution pour protéger la population que d’instaurer l’État d’urgence sanitaire. Au-delà des critiques qui peuvent être formulées quant à la gestion de la crise, cet évènement hors du commun a été une occasion de mesurer le niveau de résilience du pays.
Au début de ce mois de décembre, le monde a célébré la Journée mondiale de lutte contre le VIH/SIDA. Une célébration une fois de plus particulière parce que la pandémie du coronavirus a une nouvelle fois laissé transparaître les manquements des Etats à travailler efficacement contre la pandémie du VIH / SIDA.
C’est la seconde rentrée des classes sous l’influence de la lutte contre le coronavirus. Que des inquiétudes au moment où nos enfants vont franchir le seuil des écoles à travers le pays, qui fait face à une troisième vague de l’épidémie marquée par le plus craint des variants : Delta. La virulence qu’on lui attribue ne laisse qu’une seule option à la population, la vaccination.
En entrant en 2022, l’espoir d’une reprise se lit dans l’ensemble des discours aussi bien des politiques que des populations. Le vœu pieux de chacun est de retrouver une vie normale après deux ans de privation et d’enfermement. La communication par le gouvernement des nouvelles mesures, au-delà de la contestation des arrêtés n°0559 et n°0685 ainsi que le décret n°002/PR/MS du 7 janvier 2022 par le COPIL Citoyen, l’ambition reste d’offrir un assouplissement pour permettre la relance des activités économiques.
« La corruption n’a pas sa place au Gabon», ce fut l’un des moments importants du discours du Chef de l’Etat Ali BONGO ONDIMBA lors de son adresse à la Nation le 31 décembre 2019. Ce discours fut tenu à un moment particulier où nombreux parmi les hauts cadres de l’Administration publique dont des membres du gouvernement et du parlement faisaient l’objet de poursuites dans le cadre de l’Opération Scorpion. Dans cette allocution, le Président de la République avait mis à nouveau un point d’honneur à combattre efficacement la corruption tout en rappelant qu’ « au Gabon, personne n’est au-dessus de la loi. La justice doit être la même pour tous et nul ne saurait s’en soustraire.»
Je cherchais une source d’inspiration pour l’éditorial de ce numéro. Un mot ou une expression voire une phrase qui soit en mesure de correspondre aux idées issues de ma prospection. Je suis tombé sur cette citation de l’écrivain canadien Pierre Billon, « le courage est le prix de la dignité ». La dignité, ce dont nous avons le plus besoin de nos jours pour construire l’État-nation dont rêve chaque citoyen de ce pays.
Tout au long de l’année 2021, il nous a fallu composer avec le factuel parce que entreprendre dans un contexte de crise a son lot de surprises parfois à la dernière minute. 2021, une année qui nous a conduites à être plus smart et résilient pour toujours être au rendez -vous avec nos lecteurs.
Chères lectrices, chers lecteurs,
Le mois d’octobre sur l’agenda mondial est consacré à la lutte contre les cancers féminins. Notre numéro de ce mois sera placé sous le sceau d’« Octobre Rose ». À l’instar des autres communautés à travers la planète, nous sommes solidaires de l’action de sensibilisation visant à convaincre un maximum de femmes à se faire dépister.
La valse des délibérations des examens scolaires qui battait son plein. Le brevet et le certificat d’études primaires ont déjà livré leurs lots de statistiques en termes de réussite, d’échec ; si bien qu’il a été procédé au classement des meilleurs établissements et même des meilleurs bassins pédagogiques. Il ne reste plus qu’à connaître celles du baccalauréat. C’est l’occasion d’apprécier l’ensemble de ces résultats. On sait, avant toute chose, que se pencher sur l’éducation reste une aventure parfois difficile. D’une part parce qu’elle relève d’une action publique, qui impose de juger les orientations politiques et leur portée, d’autre part en ce qu’elle appelle à les lire sous la lunette des attentes de la société. L’école gabonaise n’échappe pas à l’exigence de modernisation afin de l’adapter aux prétentions citoyennes et du monde économique.